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- Né le 18 décembre 1873 - Preuilly-sur-Claise (Indre-et-Loire)
- Décédé le 23 avril 1946 - Faye - Saint Priest sous Aixe (Haute-Vienne) , à l’âge de 72 ans
- Inhumé en 1946 - cimetière de Saint-Priest - Saint Priest sous Aixe (Haute-Vienne)
- Militaire
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Parents
Mariages et enfants
- Marié avec
x x , dont
Fratrie
André Pommeret 1871-1903- Léon Pommeret , officier de la légion d'honneur 1873-1946
- x x
Ascendants jusqu'à la 5e génération
Notes
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===Registre matricule===
Cheveux et sourcils châtains, yeux roux, front ordinaire, nez moyen, bouche ordinaire, menton rond, visage ovale, taille : 1m75 (il est largement le plus grand des trois frères, et même des cousins, avec 14 centimètres de différence avec André l'aîné !).
Elève à l'école des Mines à Paris, il sera successivement soldat (1894), Brigadier (1895) et maréchal des logis (1896) au 20e régiment d'artillerie. Il fera en 1901 l'école militaire de l'artillerie et du génie. En 1902, il est lieutenant au 21e régiment d'artillerie.
Il se marie le 24 août 1903 avec Marie-Thérèse Gérald de Faye, de qui il hérite de Faye à Saint Priest sous Aixe.
Il grimpera ensuite les échelons de l'armée : lieutenant, capitaine, chef d'escadron, lieutenant-colonel.
Il a reçu plusieurs décorations au long de sa carrière :
- Chevalier de la légion d'honneur le 20 novembre 1914 parce qu'il a fait une reconnaisse en avant dans une zone fréquemment battue par les bombes et obus.
- Croix de guerre 14-18 avec palme
- Officier de la légion d'honneur le 16 juin 1920
nommé lieutenant colonel le 17 décembre 1929, le même jour il est rayé des contrôles et admis à la retraite.
===Habitations successives===
- Il habite le 44 rue Madame à Paris lors de ses études à l'Ecole des Mines.
Il a été félicité dans un article d'un journal de Touraine : l'Indépendant du Berry. Voici l'article particulièrement élogieux :
" NEONS-SUR-CREUSE. - Un compatriote.- Il y a des souvenirs qui s'accumulent sans pour cela s'effacer. Celui de M. Denis, ancien maire de Néons-sur-Creuse, pendant 40 ans, est encore vivant dans bien des familles,
car il comptait beaucoup d'amis. Ces derniers se réjouiront en apprenant que son petit-fils, le commandant Léon Pommeret, déjà cité deux fois
à l'ordre de l'armée et à l'ordre du régiment ; blessé le 8 septembre 1914, croix de guerre avec palmes, chevalier de la légion d'honneur, pour faits de guerre, promu chef d'escadron au choix, est titulaire d'une
troisième citation aussi belle que les précédentes. Ordre du 6áµ corps d'armée du 14 juin 1917 21áµ batterie du 234 áµ d'artillerie. « Excellent commandant de batterie, calme, très expérimenté, a pendant trois
jours, d'un observatoire improvisé en avant des positions françaises dans une zone très fréquemment battue par les feux violents de l'ennemi,
conduit avec beaucoup de sang-froid et de précision les tirs coupés à sa batterie. » Le commandant Pommeret est un brave et un modeste. Élevé
à l'école du devoir par un père hélas! disparu, il s'est montré le digne descendant d'une famille où le courage n'a jamais exclu l'honneur. "
Sources:
- personne: Archives départementales de l'Indre-et-Loire, base Leonor (décorés de la légion d'honneur), arbre généalogique dressé par Louis Pommeret, photos qui me sont communiquées par Emmanuel Proudhon.
: 33 ans)
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