Alexandre Pommeret  1839-1900

Notes

====Recensements====

• 1872 : Arpheuilles, La Rossignolerie, avec deux familles de cultivateurs, les Cormier et les Doucet. Félix Bourdin est leur domestique. Propriétaire.
  
• 1876 : Ecueillé, 10 place des Halles, avec Marie Caresme, Luc, Marc et Marie-Louise. Une domestique : Marie Auzannet. Percepteur
  
• 1891 : Nonancourt, 20 rue de l'Hôtel-de-Ville, avec Marie Caresme. Percepteur.
  
  
  

====Professions====

• 1864 : Employé dans l'administration des postes à Nevers (mariage)
  
• 1865 : Employé des postes à Châteauroux (naissance Jean Pommeret)
  
• 1868 : Propriétaire à Arpheuilles (naissance Luc Pommeret)
  
• 1872 : Propriétaire à Arpheuilles (recensement)
  
• 1874 : Percepteur demeurant à Arpheuilles (naissance Marie-Madeleine Pommeret)
  
• 1874 : Percepteur à Ecueillé (succession de sa belle-mère Emma Pellerin)
  
• 1876 : Percepteur à Ecueillé (recensement et annuaire des percepteurs)
  
• 29 novembre 1879 : nommé percepteur à Morainville (Eure), précédemment à Ecueillé (Indre) (JO)
  
• 28 octobre 1885 : nommé percepteur à Gravigny (Eure), précédemment à Morainville (Eure) (JO)
  
• 1889 : Percepteur à Gravigny, résidant à Evreux (Eure)
  
• 1890 : Percepteur à Evreux (décès Marc Pommeret)
  
• 19 mars 1890 : nommé percepteur à Nonancourt, précédemment à Gravigny (Journal d'Evreux et du département de l'Eure)
  
• 1891 : Percepteur à Nonancourt (recensement)
  
• 1893 : Percepteur à Nonancourt (annuaire des percepteurs)
  
• 28 septembre 1894 : nommé percepteur à Sully sur Loire (Loiret), précédamment à Nonancourt (Eure) (JO)
  
• 1895 : Percepteur des contributions directes à Sully sur Loire (bail de la Rossignolerie)
  
• 1900 : Percepteur à Sully sur Loire (acte de décès)
  
  Note : dans le JO du 28 octobre 1894 il est nommé par arrêté du 28 septembre 1894 du ministre des finances comme percepteur à Sully sur Loire. 2e classe à l'époque.
  
  D'après le versement de sa pension (JO du 9 juillet 1900), il est percepteur depuis 34 ans 9 mois, 21 jours, et obtient sa pension a partir du 22 janvier 1900, de 2750 francs (soit 16 jours avant sa mort). Il était donc dans l'administration du 1er avril 1865 au 22 janvier 1900.