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Le château de la Grézillonaye



Le château de la Grézillonaye est un château situé en Guichen.


== Les propriétaires ==

XIVe - ???? X de Lohéac ;
???? - ???? X de la Grézillonaye
???? - ???? X de la Lande
???? - 1367 Jehanne de la Lande qui épouse Jehan d'Acigné qui reçoit le château en dot;
1367 - 1421 Jehan(I) d'Acigné, Jehan (II) d'Acigné et Jehan (III) d'Acigné (fils et petit-fils);
1421 - 1462 Jean (IV) d'Acigné;
1462 - 1497 Jean (V) d'Acigné;
1497 - 1525 Jean (VI) d'Acigné;
1525 - 1539 Jean (VII) d'Acigné;
1539 - 1573 Jean (VIII) d'Acigné;
1573 - 1598 Judith d'Acigné qui épouse Charles de Cossé qui reçoit le château en dot en 1579;
1598 - 1620 Charles de Cossé et Charles de Cossé (son fils)vend le château à Jean du Bouëxic;
1620 -~1630 Jean du Bouëxic;
~1630 - 1661 Guillaume du Bouëxic;
1661 - 1699 Luc du Bouëxic;
1699 - 1735 Luc du Bouëxic;
1735 - 1768 Claude-Luc du Bouëxic;
1768 - 1839 Agathe du Bouëxic qui épouse Joseph de Talhouët qui reçoit le château en dot en 1772;
1839 - 1841 Salomon de Talhouët (fils de Joseph et Agathe);
1841 - 1850 Agathe de Talhouët (elle le donne à sa mort à son neveu Talhouët (non trouvé));
...
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    "d'hermine au chef de gueules chargé de trois macles d'or", ainsi se décrivait le blason des seigneurs du <NOBR>Bois-Boißel</NOBR>


    Le château du <NOBR>Bois-Boißel</NOBR>


    Au cœur de l'antique fief du <NOBR>Bois-Boißel,</NOBR> dans l'ancien régaire épiscopal de <NOBR>Saint-Brieuc,</NOBR> se trouve un château peu connu des briochins, à vrai dire, il n'en reste que peu de traces, seulement quelques pierres sèches. D'après de nombreux ouvrages contant l'histoire de <NOBR>Saint-Brieuc</NOBR> (des « Annales Briochines » de Ruffelet à « L'histoire


    de <NOBR>Saint-Brieuc</NOBR> » de Illio en passant par Jules Lamare) citent un manoir, situé près du Gouët, Ruffelet ajoute qu'il était de coutume de dire que ce lieu était l'ancienne demeure de Rigwal, qui accueillit Brioc au VIème siècle.


    D'autres sources non historiographiques citent ce lieu : en 1317, est fait un partage entre les fils de Gervaise, veuve de Juhaël dit « Le Prévost », seigneur du <NOBR>Bois-Boißel,</NOBR> il cite un château « situé à un <NOBR>demi-quart</NOBR> de lieu de <NOBR>Saint-Brieuc</NOBR> », ce qui correspondrait très sûrement à une ancienne motte, située en amont du Gouët, près de laquelle subsiste toujours l'ancienne métairie du <NOBR>Bois-Boißel</NOBR> et quelques moulins, celui du « Bosc » (qui veut tout simplement dire « bois »), le moulin à papier et un moulin à tan. En se remettant dans le contexte de l'époque, on s'aperçoit que ce lieu est fortement stratégique, à l'est, la tour de Ceßon, au sud, la ville de <NOBR>Saint-Brieuc,</NOBR> fief épiscopal, à l'ouest, le château de la <NOBR>Roche-Suhart</NOBR> et au nord, l'immense fief du Goëllo possédé par les Avaugour pendant longtemps.


    En 1634, un gentilhomme voyageur, <NOBR>Dubuißon-Aubenay,</NOBR> tient un carnet de voyage, en passant par <NOBR>Saint-Brieuc,</NOBR> il note « le manoir est situé dans le vallon à la rive droite de la rivière de Gouet, une arcbusade au dessus de l'endroit ou, a certain pont dit le pont de


    Gouet, composé de 3 arches de pierre. », on ne sait vraiment ce que veut dire « arcbusade », il semblerait que ce soit une unité de longueur (un tir d'arquebuse?). Ce manoir cité, est <NOBR>peut-être</NOBR> l'actuelle ferme du <NOBR>Bois-Boißel,</NOBR> située au dessous de la possible motte castrale, Ruffelet cite dans ses annales que le manoir fut attaqué lors des guerres de la ligue en 1592.


    D'après un terrier et des actes épiscopaux conservés aux Archives Départementales des <NOBR>Côtes-d'Armor,</NOBR> un colombier existait non loin de là. Le pont de Gouët, appelé autrefois le pont <NOBR>Saint-Barthélémy</NOBR> fut un haut lieu de passage pour marchands, colporteurs et voyageurs, il semblerait qu'il y avait une porte pour contrôler l'entrée à la ville non loin.


    Le fief appartint aux <NOBR>Bois-Boißel</NOBR> pendant la période médiévale, il passa ensuite aux du Rouvre avec Helie du Rouvre, capitaine de


    <NOBR>Saint-Brieuc</NOBR> puis Bréhant à la fin du XVIIème siècle, au XIXème siècle, il paßa à un certain Dermitte. Aujourd'hui, le château n'est


    plus qu'un monticule, qui peut faire penser à un ancien tumulus.


    SOURCES :


    <NOBR>-Archives</NOBR> Municipales de <NOBR>Saint-Brieuc</NOBR> ;


    <NOBR>-Bibliothèque</NOBR> Municipale de <NOBR>Saint-Brieuc</NOBR> ;


    <NOBR>-Archives</NOBR> Départementales des <NOBR>Côtes-d'Armor</NOBR> ;


    <NOBR>-Annales</NOBR> Briochines, <NOBR>Christophe-Michel</NOBR> RUFFELET ; <NOBR>-Histoire</NOBR> de la ville de <NOBR>Saint-Brieuc,</NOBR> Jules LAMARE ;


    - Histoire de la ville de <NOBR>Saint-Brieuc,</NOBR> <NOBR>Jean-Baptiste</NOBR> ILLIO ;


    <NOBR>-A</NOBR> travers le vieux <NOBR>Saint-Brieuc,</NOBR> Arthur DUBOIS de LA VILLERABEL.


    Luc POMMERET







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    [[[le Phare du Légué]]]
    TITLE=Docteurs en Médecine

== Histoire ==

=== Préhistoire et antiquité ===
Il n'existe pas suffisamment de données fiables pour déterminer le début de l'usage des plantes à des fins médicinales (phytothérapie). Les données médicales contenues dans le Papyrus Edwin Smith peuvent être datée du XXXe siècle av. J.-C. Les premiers exemples connus d’interventions chirurgicales ont été réalisés en Égypte aux alentours du XXVIIIe siècle av. J.-C. (voir chirurgie). Imhotep sous la troisième dynastie est parfois considéré comme le fondateur de la médecine en Égypte antique et comme l'auteur originel du papyrus d’Edwin Smith qui énumère des médicaments, des maladies et des observations anatomiques. Le papyrus gynécologique Kahun4 traite des maladies des femmes et des problèmes de conception. Nous sont parvenus trente-quatre observations détaillées avec le diagnostic et le traitement, certains d'entre eux étant fragmentaires. Datant de 1800 av. J.-C., il s’agit du plus ancien texte médical, toutes catégories confondues. On sait que des établissements médicaux, désignés par l’expression Maisons de vie ont été fondés dans l’Égypte antique dès la première dynastie.

Les plus anciens textes Babyloniens sur la médecine remontent à l’époque de l’ancien empire babylonien dans la première moitié du IIe millénaire av. J.-C. Cependant, le texte babylonien le plus complet dans le domaine de la médecine est le Manuel de diagnostic écrit par Esagil-kin-apli le médecin de Borsippa., sous le règne du roi babylonien Adad-ALPA-iddina (1069-1046 av. J.-C.).

Hippocrate, est considéré comme le père fondateur de la médecine moderne et rationnelle, et ses disciples ont été les premiers à décrire de nombreuses maladies. On lui attribue la première description des doigts en baguette de tambour, un signe important pour le diagnostic de la bronchopathie chronique obstructive, du cancer du poumon et des cardiopathies cyanogènes congénitales. Pour cette raison, le symptôme des doigts en baguette de tambour est parfois appelé hippocratisme digital. Hippocrate a également été le premier médecin à décrire la face hippocratique. Shakespeare fait une allusion célèbre à cette description dans sa relation de la mort de Falstaff dans Henry V, acte II, scène III,. Le Corpus hippocratique popularise la théorie des humeurs. La médecine rationnelle grecque et latine coexiste cependant pendant toute l'Antiquité avec les cultes des Dieux guérisseurs.

=== Moyen Âge ===
La plupart des connaissances sur la médecine hébraïque de l’antiquité au cours du Ier millénaire av. J.-C. proviennent de la Torah, c'est-à-dire des cinq livres de Moïse qui contiennent diverses lois relatives à la santé et à différents rituels, tels que l'isolement des personnes infectées (Lévitique 13:45-46), le lavage des mains après avoir manipulé un cadavre (Livre des Nombres 19:11-19) et l’enfouissement des excréments à l’extérieur du campement (Deutéronome 23:12-13). Bien que le respect de ces lois soit susceptible d’entraîner certains avantages pour la santé, la religion juive avait institué ces rituels et ces interdictions uniquement pour obéir à la volonté de Dieu. Max Neuberger, dans son Histoire de la médecine écrit : « Les commandements ont pour objet la prévention et le contrôle des épidémies, l’éradication des maladies vénériennes et de la prostitution, les soins d’hygiène corporelle, les bains, la nourriture, le logement et l'habillement, la réglementation du travail, la vie sexuelle, la discipline du peuple, etc. Beaucoup de ces commandement, tels que le repos du Sabbat, la circoncision, les lois concernant les denrées alimentaires (interdiction du sang et de la viande de porc), les mesures concernant les menstruations et les suites de couches des femmes et des personnes souffrant de gonorrhée, l'isolement des lépreux et l'hygiène du campement sont, compte tenu des conditions climatiques, étonnement rationnelles ».

La traduction dans les années 830-870 de 129 œuvres du médecin de l'Antiquité grecque Galien en arabe par Hunayn ibn Ishaq et ses assistants et, en particulier, l'insistance de Galien sur une approche rationnelle et systématique de la médecine, ont servi de modèle à la médecine islamique qui s’est propagée rapidement à travers l’Empire arabe. Qusta ibn Luqa joua aussi un rôle important dans la traduction et la transmission des textes grecs. Les médecins musulmans ont mis en place certains des premiers hôpitaux qui se sont par la suite développés en Europe à la suite des croisades, en s’inspirant des hôpitaux du Moyen-Orient.

En Europe occidentale, l'effondrement de l'autorité de l’empire romain a conduit à l’interruption de toute pratique médicale organisée. La médecine était exercée localement, alors que le rôle de la médecine traditionnelle augmentait, avec ce qui restait des connaissances médicales de l'antiquité. Les connaissances médicales ont été préservées et mises en pratique dans de nombreuses institutions monastiques qui s’étaient souvent adjoint un hôpital et disposaient de carrés d'herbes médicinales. Une médecine professionnelle organisée est réapparue, avec la fondation de l’école de médecine de Salerne en Italie au XIe siècle qui, en coopération avec le monastère du Mont Cassin, a traduit de nombreux ouvrages byzantins et arabes.

À partir du XIe siècle, l'Église veut dissocier la vocation de moine de la profession de médecin. La volonté d'encadrer le savoir aboutit à la formation d'universités aux mains des ecclésiastiques. Les médecins de l'université de médecine de Montpellier, dépositaires des doctrines des médecins juifs et arabes, privilégient les plantes, ceux de l'celle de Paris la purge et la saignée.

===XIXe siècle et XXe siècle===
Au XIXe siècle, Karl August Wunderlich publie Das Verhalten der Eigenwärme in Krankheiten, qui établit que la fièvre est seulement un symptôme et met fin au credo d'une maladie infectieuse jusqu'alors nommée « fièvre intermittente ». En 1881 Theodor Billroth réalise la première gastrectomie, il révolutionne la chirurgie du pharynx et de l'estomac. En utilisant l'analyse statistique, le médecin Pierre-Charles Alexandre Louis (1787—1872) montre que l'utilisation des saignées chez les malades atteints de pneumonie n'est pas bénéfique mais néfaste18. Ceci esquisse la notion d'étude randomisée en double aveugle.

Le 25 novembre 1901, Aloïs Alzheimer décrit le tableau clinique de la maladie qui porte son nom. Il n'existe toujours aucun traitement connu à ce jour. Les traitements médicaux font des progrès spectaculaires avec l'invention de nouvelles classes de médicaments. Felix Hoffmann dépose le brevet de l'aspirine le 6 mars 1899. En 1909, le Nobel de médecine Paul Ehrlich invente la première chimiothérapie en créant un traitement à base d'arsenic contre la syphilis. En 1921 Frederick Banting de l'université de Toronto isole l'insuline et invente un traitement du diabète sucré. Le premier antibiotique date de 1928 avec la découverte de la pénicilline par Alexander Fleming.


==Liste des docteurs en médecine de la base : ==
Les châteaux :

-Le château de la Grézillonaye